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27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 14:15
Ne coupons pas le cordon ombilical de nos bébés immédiatiement à la naissance.

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"Parents, grands-parents, tantes, oncles, frères et sœurs, familles, sages-femmes, doulas, médecins, infirmières, administrateurs d’hôpitaux et législateurs … nous sommes Les gardiens de naissance. Il est de notre responsabilité la plus sacrée de protéger les nouveau-nés à la naissance et à mesure qu’ils grandissent, car ils sont les futurs Gardiens de la Terre. Ma question est maintenant: "Sommes-nous des professionnels de la santé pour voler à nos de bébés leur plein potentiel de santé, d’intelligence, d’immunité et de longévité au moment de la naissance ?".

Partout dans le monde, dans presque tous les établissements médicaux, les nouveau-nés sont privés jusqu’à 1/3 de leur volume sanguin.

Au moment de la naissance des nouveau-nés sont estimés à avoir un volume de sang de 78 ml / kg (3,5 kg X = 273 ml) avec un hématocrite veineux de 48%. Lorsque la section du cordon ombilical a été retardé de 5 minutes, le volume de sang a augmenté de 61% à 126 ml / kg (X 3,5 kg ou 7,7 livres. = 441 ml). Comment alors peut-il être illégal par les protocoles et les pratiques hospitalières de nuire aux nouveau-nés en les privant à la naissance de tant de sang ? En fait, les études prouvent qu’il s’agit d’une pratique néfaste. Je suis sûr que si j’enlevais 1/3 de ce même le sang à un patient adulte sans son consentement, il serait considéré comme un crime. Il y aurait un tollé médiatique contre moi, et je serais poursuivi. Comment alors, pouvons nous tolérer le même traitement injuste pour les nouveau-nés humains?

De nombreuses recherches montrent qu’en retardant simplement la section du cordon ombilical des bébés, nos enfants subiraient moins de traumatisme, moins de saignements internes crâniens, et auraient un taux de fer plus élevé à 4 mois, et même jusqu’à 6 et 8 mois après la naissance, une meilleure immunité

En ne coupant pas le cordon ombilical à la naissance, le bébé doit rester peau à peau avec la mère. Ceci élimine ou réduit considérablement le risque de traumatisme à la naissance. La recherche a prouvé que les bébés nés sans traumatisme jouissent d’une capacité intacte à l’amour et à la confiance.

Le naturel et le bon sens est de  donner le temps au placenta de faire son travail, de fournir à l’enfant son approvisionnement en sang complet. .

À Bumi Sehat, nous attendons trois heures avant de faire quoi que ce soit avec les cordons ombilicaux des bébés, et de nombreux parents choisissent de pratiquer la naissance lotus (la naissance lotus est de laisser le cordon sécher naturellement et tomber sans violence).

Au Bumi Sehat nous avons connu pas d’effets néfastes pour les bébés, même si nous ne divisons pas immédiatement leur lien ombilical au placenta. Une petite étude a été réalisée qui a comparé un petit échantillon de 30 bébés de Bumi Sehat (de l’indemnité de cordon grandement retardé) et 30 bébés de l’hôpital local avec une indemnité immédiat du cordon. Il n’y avait pas augmentation du taux de jaunisse et le groupe de départ tardif du cordon de Bumi Sehat apprécié hémoglobine supérieur.

Peu importe si vous êtes riche ou pauvre; instruit ou non; brun, noir, blanc, rouge, jaune ou métis, musulman, chrétien, bouddhiste, hindoue, Pagan, catholique, juif ou agnostique, très jeune ou trop vieux, aucun bébé n’a le droit d’être volé de 33% de l’approvisionnement de son sang.

Les cellules souches sont précieuses, le sang est précieux, certains hôpitaux vendent le sang de bébés pour les transfusions et pour la recherche. Beaucoup de parents sont invités à faire don de leur sang de cordon bébés à la science ou à aider les autres. Les cordons ombilicaux sont commercialisés pour des greffes. Les placentas vendus à des sociétés de cosmétiques.

Il suffit de dire "NON, je ne permettrai à personne d’abuser de mon nouveau-né."

Texte écrit par Ibu Robin, sage-femme, auteure et fondatrice du centre Bumi Sehat à Bali

Photo, wanderlust & wonder

 

lien : http://ayungdari.wordpress.com/2014/09/26/ne-coupons-pas-le-cordon-ombilical-de-nos-bebes-immediatement-a-la-naissance/

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6 septembre 2014 6 06 /09 /septembre /2014 16:28

Vous reconnaissez-vous?

  • Si vous vous sentez comme une limace, avec l’envie de traîner au lit tous les matins…
  • Si vous êtes triste sans raison, anxieux, et que le moindre défi vous paraît une montagne…
  • Si vous souffrez de problèmes digestifs, de démangeaisons, de migraines, de maux de crâne…
  • Si vous avez essayé tous les régimes sans jamais parvenir à perdre du poids ; si vous avez des difficultés de concentration et l’impression d’avoir la tête comme un seau…

Ce sont des signes que vous souffrez vraisemblablement d’une infection par le champignon microscopique ou levure nommé Candida albicans.

Les horribles méfaits de Candida Albicans

Lorsque vous êtes infesté de Candida albicans, on dit que vous souffrez de « mycose » ou plus précisément de « candidose », la mycose la plus courante.

La candidose est surtout connue du grand public sous la forme de « muguet », ces tâches blanches dans la bouche et sur les lèvres, qui démangent atrocement. Le muguet touche en priorité les nourrissons et les personnes dont le système immunitaire est affaibli (personnes suivant un traitement aux antibiotiques, une chimiothérapie, ou ayant le sida). Le diagnostic est alors évident, la plupart des médecins ne s’y trompent pas.

Mais en réalité, nos sociétés industrielles sont infectées de Candida albicans bien au-delà des personnes qui souffrent de muguet : 90 % des Américains ont un taux plus élevé que la normale de Candida albicans dans l’intestin ; 80 millions de personnes sont infectées, et 70 % sont des femmes. (1)

On n’a pas de chiffres précis pour la France mais une majeure partie de la population française a des mycoses sur les doigts de pied, et souvent sous les ongles : ce sont le plus souvent des colonies de Candida albicans.

Cela commence par les orteils où des rougeurs, des petits boutons, apparaissent. Les ongles de pied deviennent inflammatoires puis jaunes, blancs… Ils épaississent, se craquèlent, et finissent par se détacher.

C’est évidemment affreux. Mais il y a pire :

Âmes sensibles, passez directement à la section suivante

Les irritations dues au Candida albicans se produisent dans toutes les régions humides du corps, et en particulier dans et sur les parties génitales.

En France, ce sont littéralement des millions de personnes qui souffrent d’infections dues à ce type de levure ou champignon microscopique : au cours de leur vie, 75 % des femmes sont touchées au moins une fois.

Particulièrement répandues sont, chez les femmes, les mycoses vaginales : il se produit un écoulement vaginal épais, blanc jaunâtre, qui a l’aspect du lait caillé et qui adhère aux parois du vagin et au col de l’utérus. Vous ressentirez probablement des démangeaisons et des sensations de brûlure.

Vous ne pouvez pas rester comme ça.

Une infection à prendre au sérieux

Contrairement à beaucoup de maladies, vous avez l’impression – sauf cas extrême – de pouvoir continuer à vivre une vie « normale » malgré l’infection par Candida albicans.

Vos ongles de pieds ne sont pas beaux à voir, vous avez un sentiment général de mal-être, des ballonnement, de violentes démangeaisons. Mais vous parvenez à vous gratter sans que vos collègues ne s’en aperçoivent (ou du moins, en imaginant qu’ils ne s’en aperçoivent pas, parce que vous avez de la chance qu’ils soient polis).

Dans la plupart des cas, donc, l’infection au Candida albicans ne vous empêche pas de travailler ou de vaquer à vos occupations.

Mais le problème est que ce champignon produit pas moins de 79 immunodépresseurs. (2) Ce sont des substances qui neutralisent vos défenses naturelles, ouvrant grand la porte à des maladies plus graves. Plus vous avez de Candida albicans dans le corps, plus vous devenez vulnérable aux infections.

La candidose peut ainsi provoquer le syndrome du colon irritable, de l’asthme, des ballonnements, des flatulences, de la fibromyalgie, de la fatigue chronique, etc. Votre corps a de plus en plus de mal à se débarrasser des germes opportunistes et pathogènes (responsables de maladies), et en particulier des cellules cancéreuses. Un célèbre cancérologue de Rome considère que la mycose est une des principales causes de cancer. (3)

Ce n’est que dans 8 cas sur 100 000 que le Candida pénètre dans le sang et provoque une candidémie qui se solde par le décès du patient.

Mais cette possibilité, qui subsiste malgré tout, doit être une raison de plus pour vous de vous préoccuper de vous débarrasser des germes responsables de mycoses.

C’est pourquoi il est si urgent de vous soigner, si vous pensez être touché.

La plupart des médecins ont beaucoup de difficulté à faire le diagnostic de ces infections, tant les symptômes sont variés et peuvent être confondus avec ceux de la borréliose (maladie de Lyme provoquée par des piqûres de tiques ou de poux infectés par une bactérie dénommé Borrelia). Le résultat est que des millions de personnes se battent sans le savoir contre un ennemi invisible.

Voilà pour la mauvaise nouvelle.

La bonne nouvelle, c’est que, si vous m’y autorisez, je vous donne ici des moyens relativement simples pour lutter contre les mycoses courantes et rééquilibrer la population de levures et de bactéries de votre corps, pour réduire les mycoses et les candidoses qui causent toutes ces misères… et tragédies.

Connaître votre ennemi pour mieux l’assassiner

Vous le savez maintenant, Candida albicans est un champignon microscopique, autrement dit une levure. Il vit dans votre intestin, et c’est normal.

Les lecteurs de SNI savent que chacun d’entre nous vit avec des centaines d’espèces de microbes dans son intestin. Ces espèces sont si variées qu’on parle de « flore intestinale » ou de « microbiote », comme on dirait « flore aquatique » ou « flore alpine » pour les plantes vivant dans l’eau ou dans les Alpes.

La différence, bien sûr, est qu’au lieu de compter fleurs, buissons, arbres et algues, votre « flore » intestinale est composée de bactéries et de levures.

Permettez-moi d’ouvrir ici une courte parenthèse sur la différence entre les levures et les bactéries : ce n’est pas la peine de le retenir, mais sachez que les levures et les bactéries sont des cellules vivantes autonomes, et que la différence entre les deux est que les levures sont de plus grande taille et ont un noyau renfermant l’ADN tandis que les bactéries n’ont pas de noyau et leur ADN est sous la forme d’un chromosome unique. Voilà, ce n’était pas très compliqué mais cela permettra à tout le monde de briller en société, en expliquant pourquoi, quand on parle de flore intestinale, on fait toujours la différence entre levures et bactéries, même si, dans les deux cas, ce sont de simples… microbes.

Lorsque votre microflore est équilibrée, loin de vivre à vos crochets comme des puces sur un chien, ces microbes vous sont très bénéfiques : ils vous protègent des infections, entretiennent en bon état la paroi intestinale, complètent la digestion des aliments pour en extraire le meilleur, et participent même à entretenir vos défenses naturelles : 50 à 70 % de vos cellules immunitaires sont dans votre intestin.

Malheureusement, les aléas de la vie peuvent parfois perturber cette admirable paix sociale. A la faveur de différents facteurs, une population prend le dessus sur l’autre. L’équilibre est rompu et des troubles éclatent.

Les grands coupables

Les mycoses apparaissent quand les levures, dont Candida albicans est l’espèce dominante, se développent abusivement dans l’intestin.

Normalement, par un de ces miracles dont la nature a le secret, levures et bactéries de la flore intestinale s’auto-régulent : elles se tiennent mutuellement en respect, parce que chacune contrôle la nourriture de l’autre : les bactéries produisent les acides organiques qui nourrissent les levures. Les levures, elles, produisent les acides aminés et les peptides que mangent les bactéries.

Chacune a besoin des autres pour se développer harmonieusement. Les scientifiques parlent de symbiose, du grec « vivre ensemble », et Candida albicans, loin d’être un cas social dans le monde des levures et des bactéries, est normalement bien intégré à la communauté.

Mais si vous détruisez les bactéries à coup d’antibiotiques et que vous gavez vos levures du sucre dont elles raffolent, les levures se multiplient et en profitent pour aller coloniser d’autres parties du corps.

Si vous soupçonnez chez vous une infestation par Candida albicans, par la présence de mycoses ou tout autre symptôme signalé plus haut, il est très important de vous en préoccuper au plus vite.

Il est en effet possible d’agir avec de bons résultats, mais cela peut prendre du temps si la mycose est ancienne !

Des traitements simples des candidoses externes

Pour commencer, en cas de mycose externe (orteils) ou de la bouche, on peut traiter avec une solution d’eau oxygénée et de bicarbonate de soude dans de l’eau.

Mélanger dans un verre d’eau tiède (environ 300 ml) une cuillère à café d’eau oxygénée officinale à 10 % et une cuillère à café de bicarbonate de soude. Faites tourner cette mixture dans votre bouche pendant une minute, gargarisez, crachez et rincez-vous la bouche avec de l’eau. Au cours de ce processus, l’eau oxygénée joue son rôle de désinfectant mais est rapidement décomposée en oxygène et en eau par les enzymes de la salive (une catalase). Cette désinfection doit être répétée pendant plusieurs jours jusqu’à la disparition de la mycose.

Ensuite, faite la même opération avec un extrait de pépin de pamplemousse (CitroBiotic) qui va parfaire l’action. L’extrait de pépin de pamplemousse va séjourner dans les espaces inter-dentaires et va entretenir l’effet désinfectant du bain de bouche. Toutefois, comme la bouche risque de se réensemencer avec des bactéries et des champignons de l’environnement et des aliments, il est recommandé de poursuivre le traitement à l’extrait de pépin de pamplemousse, le soir au coucher, pendant plusieurs jours et même de l’entretenir longtemps pour éviter une récidive.

En cas d’infection vaginale, utilisez de la pommade à l’oxyde de zinc (inflammation des lèvres), par exemple Sénophile (pour la partie externe). En cas de mycose vaginale profonde, commencer par faire un rinçage, chaque soir, avec une solution d’extrait de pépin de pamplemousse pendant une semaine, puis introduire des ovules de Lactobacillus rhamnosus pour réensemencer le vagin avec une flore de protection.

Pour les pieds, badigeonnez vos orteils avec une solution concentrée d’eau oxygénée et de bicarbonate de soude, puis appliquez de la teinture d’iode diluée dans l’eau avec un coton sur tout le pied, et enfin mettre du Sénophile. Comme les champignons sont aussi dans les chaussettes et dans les souliers, verser du talc boriqué dans ceux-ci.

Ongles : appliquez de la teinture d’iode concentrée sous l’ongle, jusqu’à ce que l’infection disparaisse (la teinture d’iode a un effet très antiseptique qui se prolonge dans le temps). Si vous êtes très infecté, vous allez peiner à faire pénétrer la teinture d’iode en profondeur sous les ongles. Il est donc nécessaire de nettoyer très soigneusement les ongles avant le traitement.

Traitement de fond

Il ne suffit pas de se limiter à traiter les mycoses externes. Il faut aussi empêcher que la flore fongique (levures) devienne majoritaire dans l’intestin et les voies uro-génitales.

A noter que certains médecins prétendront détecter la présence excessive de Candida dans vos intestins en faisant une analyse d’excréments (coproculture). Cela paraît frappé au coin du bon sens, mais cela ne fonctionne pas. Il existe des mycoses cachées qui se développent au début de l’intestin grêle et qui ne sont plus détectables par une coproculture, parce que le pH de l’intestin (mesure d’acidité) est favorable aux levures au début, près de l’estomac, mais devient de plus en plus basique, ce qui fait disparaître les traces de Candida à l’expulsion des excréments, même si la candidose est très importante dans les voies intestinales supérieures.

Seule une analyse très spécialisée du sang ou d’urine permet de dépister la présence de métabolites d’origine fongique et de suspecter une infection cachée.

Trois mesures simultanées sont à prendre en considération pour rétablir un bon équilibre de votre microflore :

La première consiste à adopter un régime alimentaire exempt de sucre simples (saccharose, glucose, maltose, lactose) et de levure (pain, bière,etc.), mais riche en ail, oignons, échalotes et en crucifères (tous types de choux) et en huile d’olive. Consommer de la poudre de noix de coco riche en acide caprylique et boire des infusions de romarin, fenouil et gentiane. Proscrire les fromages moisis (à croute fleurie et les bleus).

La seconde mesure consiste à ensemencer le tube digestif avec une flore probiotique inhibitrice de la flore fongique. Certaines souches des genres Lactobacillus et Propionibacterium ont été sélectionnées sur ce critère d’inhibition de la flore fongique. Notons que pour être efficace il faut que ce probiotique en poudre soit dilué dans un verre d’eau tiède (30 à 35°C) et consommé le matin à jeun, au moins 1/4 d’heure avant de manger de la nourriture solide, afin que le probiotique puisse traverser rapidement votre estomac et aller directement dans l’intestin ; c’est-à-dire à un moment où votre pylore est encore ouvert (le pylore est la porte qui ferme l’estomac par le bas, pour que la nourriture solide y reste jusqu’à ce qu’elle soit complètement digérée). Le problème est que les probiotiques risqueraient d’être détruits dans l’estomac s’ils y séjournaient avec les aliments pendant la digestion, car ils ne pourraient pas supporter la très forte acidité du suc gastrique). Le temps nécessaire à la régénération d’une microflore fortement contaminée par Candida albicans est de l’ordre de 2 à 6 mois selon l’ancienneté de la mycose.

La troisième mesure est de consommer avant les repas de midi et du soir (et jamais en mélange avec les probiotiques), des extraits végétaux et des huiles essentielles ayant un caractère inhibiteur de la flore fongique. On peut citer les extraits de propolis, d’ail, de sarriette des montagnes, de pin sylvestre, de feuille d’olivier, de cannelle, de clou de girofle, d’arbre à thé, de thym, de pépin de pamplemousse, etc.) Ces derniers doivent être utilisés avec précaution car il s’agit de produits actifs pouvant provoquer à la longue l’irritation des muqueuses.

Il est toujours recommandé de faire appel à des conseillers et thérapeutes expérimentés avant d’entreprendre ce troisième mode de traitement.

Veuillez m’excuser de la longueur de ma lettre aujourd’hui, mais je tenais absolument à prendre le temps de décrire, en détail, un problème qui touche un bien plus grand nombre de personnes qu’on ne le suppose généralement. En fait, comme toutes ces maladies peu médiatiques dont on ne parle pas, la candidose est pourtant un facteur majeur de maladie dans notre société, et je pense que, si mon message circulait et qu’il était pris au sérieux, il pourrait effectivement épargner, dans les années à venir, des milliers de maladies parfois graves voire fatales.

Je vous remercie de votre patience et vous redis…

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

 

Sources de cet article :

(1) Koenig, Vicki, « Candida Overgrowth/Yeast Hypersensitivity », http://www.stonyfield.com

(2) Murray, Michael T, « Chronic Candidasis : The Yeast Syndrome, Prima Health Publishing, Rocklin, CA, (1997)

(3) Il s’agit du Docteur Tullion Simoncini : http://www.curenaturalicancro.com/fr/dr-simoncini/



Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.santenatureinnovation.com/etes-vous-infeste-de-candida-albicans-2/#ixzz3CXuN38LO

 

une autre page extrêmement bien détaillée : http://www.silver47.eu/candidose.html

 

Un autre lien qui en contient plusieurs encore : http://candida-albicans.fr/le-regime-anti-candida-en-detail/

 

 


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6 septembre 2014 6 06 /09 /septembre /2014 12:13

MCT et de l'acide laurique ont un effet anti-mircobiële.

L’huile de coco extra vierge et l’huile de 
coco: un monde de différence

L’huile de coco courante est raffinée et est faite du copra de noix de coco. Le copra est obtenu en séchant la pulpe de la noix de coco à température très élevée. C’est de ce copra que l’on extrait (à ce stade, à l’aide de solvants) l’huile de coco. Ensuite, elle est blanchie, désodorisée et raffinée. Il en résulte un produit bon marché qui nuit à la santé! Lorsque les animaux sont nourris à la graisse de coco raffinée contenant des graisses trans et non des graisses essentielles, cette graisse de coco traitée augmente le niveau de cholestérol auprès des animaux, selon une conférence donnée par Mary Enig en 1996 au Vietnam.
Les stérols, la lécithine, les polyphénols, les caroténoïdes, les minéraux, les vitamines E et les autres substances végétales sont éliminées par un processus de raffinage. Pourtant, toutes ces substances ont leur raison d’être. Les Vitamines E préviennent le rancissement, les caroténoïdes protègent contre le soleil, les minéraux assurent la croissance et la conduction électrique, etc... L’huile de coco raffinée et durcie ne fond qu’entre 30 et 37°C et l’huile extra vierge pressée à froid aux alentours de 25°C. Cela signifi e que l’huile de coco raffinée est plutôt solide à température du corps, ce qui n’est pas favorable à la santé. 
L’huile de coco extra vierge est obtenue par la fermentation naturelle de la pulpe ou par la pression mécanique. L’huile extra vierge dégage un parfum de coco et goûte comme tel, tout comme l’huile d’olive extra vierge a le goût d’olives. L’huile extra vierge est parfaitement liquide à 25°C et présente une structure moléculaire toute petite. Elle est particulièrement saine et assimilable, tant par le biais des intestins, que via la peau.

Les chaînes moyennes d’acides gras (MCT) L’huile de coco est la source la plus riche en MCT

MCT sont des Medium Chain Tryglicérides, soit des chaînes moyennes d’acides gras. Ces graisses sont surtout présentes dans l’huile de coco et l’huile de graine de palmiste. Les molécules des MCT sont plus petites, sont rapidement décomposées et ne nécessitent que peu d’énergie et d’enzymes pour être assimilées et utilisées par notre organisme. Elles n’ont pas besoin d’enzymes du pancréas, (22) ni davantage l’intervention du foie ou de la vésicule biliaire. C’est pourquoi les MCT d’huile de coco sont bénéfiques aux personnes souffrant de problèmes de foie, étant donné qu’elles sont plus faciles à digérer. Contrairement aux autres graisses, les MCT sont plutôt utilisées comme un carburant, que comme une graisse. (23) C’est pourquoi les MCT d’huile de coco sont très appréciées par les sportifs et qu’elles s’intègrent parfaitement au régime de vitalité.
Grâce aux propriétés curatives de MCT, celle-ci est souvent utilisée dans les hôpitaux pour les patients ayant subi des brûlures et souffrant de maladies graves. (17) Les longues chaînes d’acides gras telles qu’elles apparaissent souvent dans l’huile de poisson et dans les huiles végétales, sont plutôt stockées comme des graisses et ne sont utilisées que dans un deuxième temps comme de l’énergie.

Les problèmes stomacaux, intestinaux et digestifs:
La noix de coco contribue à l’assimilation des substances nutritives

L’huile de coco contient beaucoup de MCT, de petites molécules pouvant être rapidement et aisément digérées. Le fait de remplacer des chaînes d’acides gras telles que l’huile de maïs,
de tournesol, d’olive et de soja par de l’huile de coco chez les personnes souffrant de problèmes de digestion, constitue un bon choix. Surtout en ce qui concerne les personnes plus âgées, les petits enfants et les personnes de nature plutôt nerveuse, (3) les petits enfants et les personnes de nature plutôt nerveuse, ou encore dans le cas d’un intestin spasmodique, de colitis ulcerosa, de gastrite, de diverticulite, d’inflammation chronique de l’intestin, de maladie de Crohn et de constipation.  l’intestin, de maladie de Crohn et de constipation.Les substancesnutritives sont alors moins bien assimilées et le corps est encombré de substances toxiques émanant de l’intestin malade exerçant une pression constante sur notre vitalité. Jeûner, désintoxiquer et l’huile de coco peuvent alors aider. 
Les pharmaciens J. Graedon et le Dr. T. Graedon disent ceci:’ les macarons à la noix de coco (biscuits) sont meilleurs que n’importe quel médicament pour les personnes souffrant de la maladie de Crohn’. (86)
Les MCT permettent une assimilation meilleure et plus aisée des substances nutritives dans les intestins, que les LCT. (87). Plus la chaîne (p. ex. EPA et DHA de l’huile de poisson) est longue, plus elle est diffi cile à traiter pour les intestins. Plus il y a d’acides gras AA (viande), plus l’intestin souffre d’infl ammation. Un régime riche en acides gras poly-insaturés (p. ex. le poisson gras, l’huile de tournesol, l’huile de graines de lin) affectent le plus les intestins. (87) Les MCT issus de l’huile de coco permettent aux personnes dont le gros intestin a été partiellement ou totalement enlevé, de mieux assimiler les substances nutritives (88). Cela s’explique par le fait que les MCT sont constitués de toutes petites molécules de graisse. Ainsi une étude belge a-t-elle confi rmé que les vitamines E dans les formules de graisse comprenant des MCT sont assimilées deux fois mieux que dans les formules de graisse comprenant exclusivement des LCT. (89)

La construction d’une bonne flore intestinale peut être obtenue grâce à une alimentation non raffinée, riche en fi bres, avec des fruits et des légumes non traités. L’alimentation fermentée telle que la choucroute, d’autres légumes fermentés tels que certains pickles, des légumes riches en inuline comme les salsifi s noirs, les topinambours et les oignons, le Kombucha, le képhir, les chutneys, les fromages crus, le yaourt aux bactéries d’acide lactiques vivantes, le pudding fermenté aux céréales, certains vins, bières et vinaigrettes. Il va de soi que ceux-ci ne peuvent pas être pasteurisés ou chauffés, sans quoi les bactéries bienfaisantes mourraient.

Les MCT dans l’huile de coco préviennent et guérissent les inflammations de l’intestin

L’huile de coco peut fournir une importante contribution à la prévention et au soulagement d’inflammations dans le canal digestif. Ces infl ammations apparaissent souvent en partie en réaction du corps aux organismes contaminés. Une étude britannique basée sur les tests sur des souris est parvenue à la conclusion que l’huile de coco peut réduire de manière drastique le risque d’infl ammations et que cette huile convient en tant que thérapie pour les maladies infl ammatoires aiguës et chroniques. L’huile de coco est particulièrement utile pour les personnes qui souffrent de la maladie de Crohn, c’est-à-dire l’infection des intestins ou lors de colitis ulcerosa, une maladie similaire affectant le gros intestin.
Des recherches ont révélé que les composantes anti-inflammatoires de l’huile de coco réduit l’irritation des intestins. En outre, les composantes anti-microbiennes de l’huile luttent contre les virus, les bactéries et les éventuels champignons qui affectent les intestins lors de cette maladie ou sont à son origine.

L’huile de coco protège en cas d’allergie au gluten, mais convient également idéalement pour contrer les problèmes stomacaux et 
intestinaux

Les personnes affectées d’une allergie au gluten (maladie cœliaque), souffrent souvent d’inflammations chroniques et de détérioration de la muqueuse de la paroi intestinale. Cela entraîne une diminution de la capacité d’assimilation de l’intestin et peut causer des diarrhées et s’avérer très douloureux. L’huile de coco et les produits à base de noix de coco peuvent, de par leur chaîne moyenne d’acides gras, protéger la paroi intestinale et contrer les réactions inflammatoires. La fonction anti-inflammatoire et partiellement aussi anti-bactérienne, antivirale et antifongique de cette chaîne moyenne d’acides gras, est particulièrement salutaire pour les personnes allergiques au gluten.

La fonction anti-microbienne des MCT contenus dans l’huile de coco

L’évolution a pourvu les plantes, les animaux et les hommes d’un certain nombre de mécanismes de protection, pour la défense contre toutes sortes de virus, de bactéries, de champignons, etc. Les noix de coco poussent dans un climat tropical, qui pullule d’organismes nous agressant sans cesse. Les noix de coco s’y sont adaptées par le biais de leur chaîne moyenne de graisses et ont développé naturellement un système anti-microbien. Le lait maternel et le lait d’autres mammifères comprennent également des acides gras lauriques MTC (acides gras moyens) pour protéger leurs nouveau-nés. (C’est pourquoi on retrouve également un peu de MCT dans le beurre). Une des caractéristiques uniques de l’huile de coco réside dans le fait qu’il s’agit d’alimentation antibactérienne, antivirale, antifongique et anti-protozoaire. (29,30)

L’huile de coco en tant que neutraceutique
La nature guérit...

Là où l’huile de coco est consommée depuis des générations, on sait qu’il s’agit d’un remède efficace pour guérir les blessures et qu’elle possède des propriétés anti-inflammatoires et anti-microbiennes. Certains experts en huile de coco mettent out en œuvre pour qu’elle soit re prise officiellement en tant que neutraceutique, un supplément alimentaire présentant une valeur nutritive élevée, qui prévient ou guérit les maladies chroniques. En effet, l’huile de coco peut renforcer notre système immunitaire. L’acide laurique, caprique, capronique, caprylique et myristique, qui représentent plus de 70% des acides gras de l’huile de coco, nous protègent contre les bactéries, les virus, les champignons, la fermentation et les protozoaires. En mangeant de l’alimentation préparée à l’huile de coco, nous nous protégeons mieux.

Les différents puissants acides gras anti-microbiens de l’huile de coco sont:

45% d’acide laurique (un MCT à 12 atomes d’hydrogène)
10 % d’acide caprique (un MCT à 10 atomes d’hydrogène)
8% d’acide caprylique (un MCT à 8 atomes d’hydrogène)
0,5% d’acide capronique (un MCT à 6 atomes d’hydrogène)
8 à 12% d’acide myristique (un LCT à 16 atomes d’hydrogène)

L’acide laurique dans l’huile de coco L’acide laurique dans le lait maternel et dans la peau

L’acide laurique est libéré dans la peau pour protéger notre corps contre les microbes. L’acide laurique est présent dans le lait maternel pour aider à protéger le bébé contre les infections. L’acide laurique dans l’huile de coco protège également les personnes dans les tropiques contre les infections. L’huile de noix de coco contient le plus d’acide laurique parmi toutes les graisses ou huiles. La graisse de coco est composée à non moins de 45% d’acide laurique. Dans l’organisme, l’acide laurique est transformé en acide monolaurique. Cet acide monolaurique tue de nombreuses bactéries et virus grâce à une couche de graisse protectrice. Cependant, certaines études ont démontré que l’acide laurique proprement dit possède également des propriétés anti-microbiennes. (81) L’école de Berkeley a confirmé dans un bulletin d’information, que l’acide laurique protège même le foie et contribue à contrer l’inflammation.

Femmes enceintes et mères fraîchement émoulues: pensez à vos bébés, pensez aux graisses saines...

Le lait maternel contient entre 45 et 50% de graisse saturée, 35% de graisse mono-insaturée et entre 15 et 20% d’AGPI (oméga 3 et 6). Normalement, 18% du lait maternel est composé d’acides gras lauriques et capriques, qui protègent le fœtus et le bébé contre les infections de champignons, de bactéries, de virus et de protozoaires (35). C’est pourquoi les bébés qui ne reçoivent pas de lait maternel courent plus rapidement le risque de tomber malade que ceux qui reçoivent du lait maternel de mamans en bonne santé. Ce niveau d’acides gras protecteurs peut tomber jusqu’à 3% à peine auprès des mères qui mangent des aliments mai gres, beaucoup de junkfood comprenant des graisses trans. (1998, Am. J. of Clin. Nutrition). L’ajout d’huile de coco et de produits de coco au repas des mères peut faire grimper ces niveaux d’acides gras protecteurs de 27%. (119) Ainsi la mère, le fœtus ou le bébé sont-ils mieux protégés contre les infections.
De nombreux 
spécialistes alimentaires considèrent l’huile de coco comme étant une très bonne alimentation pour les bébés de par sa teneur très élevée en acide laurique que l’on retrouve dans l’huile de coco. En outre, on retrouve dans l’huile de coco des acides capriques, caprylique, capronique et mystirique, présentant les mêmes fonctions protectrices (ensemble, elles composent plus de 70% de la graisse de coco).
Par ailleurs, l’huile de coco extra vierge est très facilement digérable et affecte à peine le pancréas, le foie et la vésicule biliaire, ces organes sont d’ailleurs encore en plein développement chez les bébés.

Outre l’huile de coco extra vierge, les mères allaitantes auraient en outre intérêt à absorber 1⁄2 à 1 cuiller à soupe d’omégas 3/6/9 végétaux et bio pour la formation saine des yeux et du cerveau du fœtus de leur bébé. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la masse cérébrale du fœtus est triplée, alors que le cerveau passe de 350 g à 1 kg entre la naissance à l’âge d’1 an. 
Des graisses MCT issues de la noix de coco, le cholestérol et les acides gras oméga 3 et 6, voilà ce dont le cerveau a besoin. La masse sèche du cerveau est d’ailleurs composée de 60 à 80% de graisses.
Recommandation aux mères enceintes et aux mères allaitantes: consommez 1 à 3 cuillers à soupe d’huile de coco extra vierge à l’huile de palme rouge par jour, ainsi qu’1 cuiller à soupe d’oméga 3/6/9 végétaux, assortis de suffisamment de vitamines E naturelles et de caroténoïdes. 100% bio et pressé à froid, cela va de soi.
Recommandé pour les bébés jusqu’à 2 ans qui ne sont plus allaités: 1 à 3 petites cuillers à café d’huile de coco et de palme par jour, à répartir sur les repas et 1 à 2 cuillers à café d’oméga 3/6/9 végétaux. 100% bio et pressé à froid, cela va de soi.

Le problème de la résistance antibiotique
L’huile de coco offre une solution plus large

Lorsque le système immunitaire fonctionne bien, notre organisme peut généralement se défendre lui-même et les antibiotiques ou les vaccins ne sont pas nécessaires. D’ailleurs, bon nombre des bactéries et des virus qui nous entourent sont ‘amicaux’. Sans eux, la vie n’est pas possible pour l’être humain. Seuls nos intestins déjà comptent près de 2 kg de ces petits organismes.
Grâce à une hygiène accrue, d’importants progrès ont été réalisés au cours de ces 150 derniè res années dans la lutte contre les maladies infectieuses. Malheureusement malgré tout notre savoir, nous ne pouvons pas empêcher des épidémies de se déclarer. Même les nouvelles bactéries ou les variantes d’un type plus ancien demeurent une plaie pour la médecine. Les statistiques nous révèlent que depuis 1980 la mortalité consécutive à des maladies infectieuses a fortement augmenté. (38) Deux grands facteurs résident dans les habitudes alimentaires malsaines et l’utilisation exagérée et erronée d’antibiotiques. 

  1. Dans de nombreux pays, l’Amérique en tête, les gens se goinfrent d’aliments raffinés comme le sucre, des produits à base de farine blanche et des huiles raffinées. 80% de nos calories sont aujourd’hui issues d’aliments sans valeur nutritive significative, qui non seulement nous font grossir, mais minent également notre résistance.
  2. Pas seulement les hommes sont des grands consommateurs d’antibiotiques. L’industrie du bétail a abusé des antibiotiques! Cela a permis à certaines bactéries de survivre et de résister aux antibiotiques. Les bactéries résistantes peuvent devenir des bactéries menaçantes pour la vie.
  3. Même si les antibiotiques peuvent éliminer des bactéries (pas des virus!) dans notre corps, elles n’en demeurent pas moins des substances intruses. Les antibiotiques constituent une charge supplémentaire pour le foie, les reins, l’estomac et les intestins.
  4. Les antibiotiques détruisent d’ailleurs aussi les bonnes bactéries présentes dans notre corps, telle que la ‘bonne flore intestinale’, un complexe de milliards de micro-organismes bienfaisants vivant dans notre intestin. Il peut en résulter notamment la diarrhée, par la disparition de la couche protectrice de bonnes bactéries intestinales, nous sommes plus exposés aux intrus. En outre, des champignons qui étaient tenus en respect, peuvent être ravivés. Bref, notre système immunitaire est affaibli. 

L’huile de coco peut représenter une alternative naturelle aux antibiotiques. L’huile de coco nous protège non seulement contre les bactéries, mais également contre les virus et les protozoaires. L’huile de coco contribue également à l’enrayement d’infections fongiques. Si vous utilisez malgré tout des antibiotiques, faites vous du bien avec l’huile de coco pour prévenir des infections fongiques.

L’huile de coco contribue à prévenir 
les ulcères à l’estomac et à les guérir

Jadis, on partait du principe que les ulcères à l’estomac étaient dus au stress. Bien que le stress puisse intervenir dans de nombreuses maladies, nous savons aujourd’hui que l’Helicobacter pylori (H. pylori) est une des grandes causes de l’inflammation chronique de l’estomac et à l’origine de 90 % des cas d’ulcère à l’estomac. Les traitements aux antibiotiques sont souvent positifs, mais malheureusement, les rechutes sont nombreuses et les effets secondaires désagréables.
Il y a trois avantages majeurs à combattre ces ulcères par des acides gras contenus dans l’huile de coco. 1. Les bactéries et virus ne deviennent pas résistantes à l’huile de coco, étant donné que cette dernière s’adapte sans cesse à son environnement. 2. L’huile de coco ne cause pas d’infection fongique, elle l’empêche plutôt. 3. L’huile de coco n’affaiblit pas le système immunitaire, mais le renforce plutôt.
Les chercheurs ont encore découvert autre chose d’intéressant dans le succès de l’huile de coco. Lorsqu’une forme insaturée d’acide laurique a été testée pour la destruction de bacté ries face à la version saturée de l’huile de coco, ils sont parvenus à la conclusion que la forme saturée de l’huile de coco était mille fois plus efficace que sont partenaire insaturé. (10) Même si les monoglycérides de la plupart des graisses à chaîne moyenne étaient efficaces dans la destruction de bactéries, l’acide laurique était le seul acide gras qui détruisait également de façon efficace le H. pylori.

‘Jamais auparavant dans l’histoire, il n’a été plus important de souligner la valeur de l’acide laurique. Les chaînes moyennes d’acides gras de l’huile de coco sont les mêmes que celles présentes dans le lait maternes et présentent les mêmes avantages pour la santé’, d’après le spécialiste en lipides Dr. Jon Kabara.
L’huile de coco et les infections fongiques
Faites fi des Candida albicans...

L’huile de coco peut non seulement réduire notre dépendance aux antibiotiques, elle con tribue également à un équilibre sain de notre flore intestinale. Un des effets secondaires décourageants des médicaments et des antibiotiques réside dans le fait qu’ils éliminent non seulement les mauvaises bactéries, mais également les bonnes et peuvent ainsi causer des infections fongiques.
Les pays où la population consomme beaucoup de noix de coco sont souvent des pays ou apparaissent beaucoup de champignons. L’Inde, le Sri Lanka, l’Indonésie, la Polynésie et les Philippines sont de tels pays et il est frappant de constater que si peu de gens y souffrent d’infections fongiques. (111) Les femmes polynésiennes par exemple, ne souffrent que très rarement d’infections fongiques.

Le remède naturel le plus connu contre les champignons est l’acide caprylique, un acide gras de la chaîne moyenne également présent dans l’huile de coco. L’université d’Islande a réalisé une étude à grande échelle sur l’efficacité de concentrations élevées en acide laurique et en acide caprique. (9) Ils ont découvert que l’acide caprique est l’acide gras le plus rapide et le plus efficace dans la lutte contre le champignon Candida albicans. Mais en présence de faibles concentrations, c’est l’acide laurique qui était le plus actif et ce même après un temps d’incubation prolongé. L’acide caprylique venait en troisième position. (98) Ces trois acides gras sont abondamment présents dans l’huile de coco. D’autre recherches ont démontré que les MCT présents dans l’huile de coco tuent les champignons tels que le Candida albicans (106)

L’effet de dépérissement
ou la ‘réaction de Herxheimer’

Trois cuillers chaque jour, à chaque fois pendant ou avant le repas, fait disparaître la colonie de champignons dans les intestins. Le dépérissement en masse des champignons tels que le Candida albicans peut provoquer temporairement des maux de tête, de l’éruption cutanée et de la diarrhée. C’est ce qu’on appelle l’effet de dépérissement ou la réaction de Herxheimer. L’élimination rapide des micro-organismes libère des substance toxiques des champignons. Néanmoins, cette réaction désagréable est un signe indiquant que vous êtes sur la bonne voie dans la destruction des champignons.

L’huile de coco est un vaste spectre naturel d’antibiotiques et tue les virus et les champignons.

Une fois qu’elles ont été développées, les substances des antibiotiques chimiques demeurent les mêmes. Les antibiotiques ne tuent plus que les bactéries non résistantes. Etant donné que l’instinct de survie des bactéries les pousse à s’adapter sans cesse, les antibiotiques actuels deviennent tôt ou tard inutiles. Plus la pression sur les bactéries est élevée, plus rapidement elles s’adaptent. Plus nous utilisons d’antibiotiques, plus nous rendons les bactéries ‘intelligentes’. C’est pourquoi les hôpitaux sont des foyers de nouvelles variantes: les ‘bactéries d’hôpital’. Avant et après presque chaque opération, on utilise des antibiotiques. Un antibiotique développé aujourd’hui aura en grande partie perdu sa valeur dans le futur. Il en va autrement de l’huile de noix de coco. L’huile de coco est un produit naturel qui évolue avec son environnement et s’adapte dans son souci de survie. La morale, c’est qu’à long terme, l’utilisation abondante d’antibiotiques donnera une longueur d’avance aux bactéries sur l’être humain. Améliorez votre santé, consommez de l’huile de coco et votre corps fera le reste.

Quelles sont les bactéries et quels sont les virus éliminés par l’acide laurique présent dans l’huile de coco?

L’acide mono-laurique démantèle les membranes de graisse des virus et rend les champignons passifs.Elle dissout véritablement la couche de graisse protectrice, l’enveloppe de certains virus et certaines bactéries, ce qui laisse l’occasion au système immunitaire humain d’achever le travail. 
De toutes les graisses saturées, l’acide laurique possède le plus grand effet antiviral, plus même que l’acide caprylique ou l’acide mystirique. (82) L’huile de coco a un effet positif sur les tumeurs, les maladies sexuellement transmissibles, la méningite et peut même réduire de 80% les caries dentaires.

     
  A travers le monde entier, on dénombre près de 50 millions de nouveaux cas de personne contaminées de Chlamydia trachomatis (la maladie sexuellement transmissible la plus contagieuse), pouvant être éradiquée par l’acide mono-laurique.  
     
L’huile de coco rétablit une bonne santé générale

Si les mauvaises bactéries, les virus et les champignons dans notre corps sont tués par l’huile de coco, notre état de santé général s’améliorera. En effet, un excès de mauvaises bactéries, de virus et de champignons peut nous épuiser, causer une fatigue chronique et nous rendre malades, affecter notre résistance et causer de nombreux petits maux et des maladies. En ajoutant l’huile de noix de coco à votre régime alimentaire, vous profiterez d’une énergie accrue. D’après le Dr. Mary Enig, une personne adulte devrait consommer quotidiennement 24 grammes d’acide laurique à des fins thérapeutiques. Cela correspond à 3,5 cuillers à soupe d’huile de coco par jour.

L’huile de coco peut-elle contribuer à combattre le HIV et le SIDA?

Des millions de personnes à travers le monde entier sont infectées du virus HIV ou souffrent du SIDA. Un cocktail de médicaments exotiques peut-il fournir la solution ? C’est peu probable. Les propriétés méconnues du virus, font qu’il est très difficile de lutter contre le HIV. Une alimentation saine et l’huile de coco extra vierge possèdent peut-être non seulement le potentiel de contribuer à lutter contre le HIV, mais peuvent certainement aussi adoucir les symptômes et les effets secondaires du SIDA.
Le HIV peut notamment être combattu par l’huile de coco de la même manière que cette huile se montre efficace contre les autres bactéries ou virus. Récemment, il y a eu beaucoup d’agitation et de recherches sur la manière dont le virus 6A de l’herpès humain (HHV-6A) peut coopérer de façon synergique avec le virus HIV dans les attaques contre le système immunitaire. Cela se fait surtout par la réduction d’une sorte spécifique de lymphocytes (CD4) et la destruction des ganglions lymphatiques. Une étude menée par Knox et Carrigan dans le Wisconsin a démontré que la principale forme de ce virus apparaît dans les ganglions lymphatiques de tous les patien
ts testés et contaminés du virus HIV. (12) Heureusement, le HHV-6A est un des virus qui peut être détruit par les graisses à chaîne moyenne (MCT’s), que l’on retrouve dans l’huile de coco. ‘Les études révèlent que l’huile de coco exerce un effet antiviral et peut réduire le niveau d’infection virale des patients souffrant du virus HIV. L’action antivirale positive n’est pas seulement obtenue par les monoglycérides de l’acide laurique, mais également par l’huile de coco proprement dite. Grâce à l’huile de coco, il existe un produit pas cher dans la lutte contre le virus HIV. (13) La quantité thérapeutique recommandée d’huile de coco est de 3,5 cuillers à soupe par jour, ce qui correspond à une demi noix de coco. Outre sa contribution à la lutte contre les infections auprès des patients du SIDA, elle les aide également à conserver plus facilement leur poids. L’huile de coco aide les patients sous-alimentés à retrouver leur poids adéquat sans risque d’excédent pondéral. L’huile de coco peut donc constituer un supplément nutritif important pendant la thérapie. Elle est facile à digérer, apporte une énergie directe, améliore la fonction intestinale et peut être aisément intégrée à une multitude de recettes.

Spécialement pour les diabétiques: 
un triple hourra pour l’huile de coco extra vierge
  1. L’huile de coco extra vierge peut réduire les accès d’hypoglycémie, de faim et diminuer le grignotage entre les repas en aidant à stabiliser le taux de glycémie. En ajoutant l’huile de coco à vos repas, vous contribuez à un taux de glycémie stable.
  2. Les personnes souffrant de diabète supportent souvent mal la graisse, parce que leur pancréas produit trop peu d’enzymes permettant de digérer les graisses et que le foie et la vésicule biliaire apportent moins de sels biliaires émulsifiants de graisses. C’est pourquoi ils digèrent souvent plus difficilement la graisse et leur selles sont plus dures et passent plus difficilement. Les personnes souffrant de diabète auraient tout intérêt à remplacer partiellement les autres graisses par de l’huile de coco extra vierge. Car l’huile de coco extra vierge contient 60% de MCT et par conséquent fait à peine appel au pancréas, au foie et à la vésicule biliaire.
  3. Une meilleure assimilation des graisses issues de l’huile de coco permet de mieux assimiler bon nombre de vitamines, de minéraux et toutes les autres substances liposolubles.
  4. Les patients qui ne contrôlent pas bien leur maladie sont particulièrement exposés aux effets néfastes des graisses oxydées qui apparaissent sous l’effet des radicaux libres. Lorsque nous ne protégeons pas scrupuleusement les acides gras poly-insaturés (AGPI) avec des vitamines E et des carotènes, le nombre de graisses oxydées augmente dans notre corps et dans notre cerveau. La noix de coco contient moins de 2% de graisses poly-insaturées (AGPI) et diminue le stress oxydant, c’est pourquoi il s’agit d’une graisse bénéfique pour les diabétiques.
  5. Chez les diabétiques, le pancréas isole dégage insuffisamment d’insuline, si ce n’est que les cellules d’insuline sont devenues insensibles, ce qui fait que les cellules n’assimilent pas assez de glucose, le carburant nécessaire aux cellules pour l’énergie. L’huile de coco contribue à pourvoir les cellules d’énergie et génère donc un apport d’énergie sans l’intervention d’insuline. (24) 
  6. L’huile de coco assure même un meilleur fonctionnement de l’insuline, une diminution de la tension artérielle élevée et une diminution des protéines dans l’urine des diabétiques. (32)
Les diabétiques ont intérêt à renier 
les graisses trans et les huiles raffinées

‘Le véritable problème du diabète se situe dans le déréglage du métabolisme graisseux et non pas dans la transformation du sucre. Le problème du sucre est un problème connexe au trouble du métabolisme graisseux, dit le Dr. Johanna Budwig. Les acides gras trans et les graisses raffinées jouent un rôle extrêmement négatif auprès des diabétiques en matière de développement de maladies cardio-vasculaires. Les diabétiques doivent éviter les graisses raffinées et oxydées plus encore que les autres personnes, étant donné que les graisses trans et les graisses raffinées entravent le bon fonctionnement des membranes cellulaires. Le sucre sanguin (glucose) éprouve par conséquent beaucoup plus de difficultés à pénétrer les cellules. En d’autres termes: une trop grande quantité de graisses trans et de graisses raffinées ont, par leur impact négatif sur les parois cellulaires, rendu les cellules moins sensibles à l’insuline. En remplaçant les graisses malsaines par les graisses saines, les cellules seront à nouveau plus sensibles à l’insuline.
Dans les populations où l’on mange les graisses saturées de la noix de coco, le diabète est rare. Une étude effectuée en Inde en 1998 a démontré que les indiens ayant abandonné leur alimentation traditionnelle à base de ghee et l’huile de coco au profit des acides gras raffinés poly-insaturés (AGPI) de l’huile de tournesol et de carthame (MOV’s), présentent des signes alarmants de diabète.
Des études réalises en Polynésie ont également révélé qu’au sein des groupes de populations qui migrent de l’alimentation traditionnelle riche en huile de noix de coco, vers une alimentation moderne riche en AGPI raffinés, la relation avec l’augmentation de diabète, est clairement établie. Les indiens souffrent de diabète depuis qu’ils consomment une alimentation raffinée. Nulle part au monde le diabète n’est plus fréquent, que parmi les indiens ‘américanisés’.

L’huile de coco et la prostate

Une autre affectation potentielle de l’huile de coco réside dans le traitement d’agrandissements bénins de la prostate chez les hommes (BPH of hypertrophie bénigne de la prostate). Actuellement, il existe un traitement très populaire aux herbes, à savoir aux baies de palme (Sabal serrulata ou Serenoa repens). Ces baies contiennent des composants graisseux qui entravent la transformation de la testostérone en DHT favorisant fortement la croissance de la prostate et contribuent ainsi à contrer la croissance de la prostate. La composante active de ces baies réside dans la part de graisse, qui contient surtout des acides gras avec une chaîne de longueur moyenne. C’est pourquoi l’huile de coco, riche en MCT, peut avoir un effet positif sur la prostate. (4)

L’huile de coco 
et les conseils beauté

Les soins de la peau:
Ce n’est pas un hasard si les personnes vivant dans les contrées où la noix de coco fait partie de l’alimentation quotidienne et des coutumes, ont une peau douce et des cheveux éclatants.

L’huile de coco est importante, tant pour l’intérieur, que pour l’extérieur de votre corps.
1. À l’intérieur: en vous protégeant contre les radicaux libres, tant à en vous protégeant contre les radicaux libres, tant à l’intérieur, qu’à l’extérieur, vous pouvez accroître votre aspect jeune, prévenir en grande partie les tâches de pigmentation brune et limiter les rides. Les radicaux libres sont des molécules instables et agressives qui endommagent les cellules, les protéines, les graisses, le DNA et accélèrent dès lors le vieillissement. Les rides, les tâches de pigmentation brunes sont souvent la conséquence de dommages causés par de tels processus d’oxydation. Etant donné que l’huile de coco contient des graisses saturées et stables, celle-ci n’est pas attaquée par les radicaux libres. Les acides gras insaturés partiellement remplacés par des acides gras saturés, réduit le risque de formation de radicaux libres.
2. À l’extérieur: l’huile de coco contient des substances protectrices telles que l’acide lau rique, nécessaires à la peau pour se prémunir de la déshydratation et des effets nuisibles de l’extérieur. Le lubrifiant (sébum) que la peau produit naturellement est
principalement composée de MCT, tels qu’ils apparaissent abondamment dans l’huile de coco. L’huile de coco est en outre légèrement génératrice d’acide, tout juste ce qui est nécessaire à la
peau. L’huile de coco peut constituer une excellente alternative aux produits cosmétiques coûteux. (39) Nombreux sont les produits commerciaux qui contiennent des produits chimiques (irritants) indésirables, débordent d’adjuvants malveillants, d’émulsifi ants, de toutes sortes de conservateurs et d’aromatisants chimiques et souvent de graisses raffinées insaturées (qui rancissent une fois appliqués sur la peau et défaits de leurs substances curatives, telles que les vitamines E et le carotène). En d’autres termes, ils contiennent beaucoup de substances néfastes et peu de substances curatives. 
La plupart des produits de soins de la peau sont fabriqués à base de dérivés de pétrole ou à base d’eau. Ce n’est pas cher, mais c’est précisément ce dont notre peau n’a pas besoin. Les lotions à base d’eau laissent souvent la peau dans le même état de déshydratation qu’avant son utilisation. L’eau adoucit la peau à court terme, mais une fois évaporée, la peau est plus sèche qu’avant. En effet, le lavage fréquent déshydrate la peau. Jeremy, un professeur de yoga que je connais, dit ceci:: ‘1 fois par semaine, après la douche, je m’enduis complètement d’huile de coco pour protéger ma peau. Avant de m’habiller, je laisse l’huile de coco pénétrer pendant 15 minutes’. En vous enduisant d’huile de coco après la douche, vous rétablissez en outre la couche protectrice de la peau.
Les taches rouges sur la peau (en cas de psoriasis ou d’eczéma) peuvent diminuer par la consommation régulière d’huile de coco et par son usage externe. L’huile de coco contient 3 acides gras qui protègent la peau contre les attaques microbiennes et les substances nuisibles de notre environnement: l’acide capronique, l’acide caprylique et l’acide laurique. En d’autres termes, ils contrent les réactions infl ammatoires. La peau produit l’acide laurique pour protéger notre corps contre les microbes. La source la plus riche en acide laurique, c’est l’huile de coco. Mélangez par exemple l’huile de coco à quelques gouttes d’huile essentielle de lavande.

L’important, c’est d’utiliser de l’huile de coco biologique extra vierge non durci, désodorisée, ni raffinée. En enduisant (sans imprégner jusqu’à sécher) votre corps d’huile de coco après votre bain ou votre douche, vous constaterez qu’après un certain temps, que votre peau est beaucoup moins sèche qu’auparavant. Dans les groupes de populations qui consomment beaucoup de noix de coco, on utilise cette huile pour soigner les blessures dues à des coupures, les infections cutanées ou les écorchures. L’huile de coco peut également être utilisée en combinaison avec les huiles essentielles de tea tree, de cannelle ou de sarriette pour enlever les verrues. Succès garanti dans les 3 mois, à condition d’imbiber plusieurs fois par jour. 
L’huile de noix de coco n’est évidemment pas la seule mesure pour obtenir une belle peau. Les habitudes alimentaires saines incluant beaucoup de légumes et suffisamment de céréales, d’épices et de noix, sont également essentielles. Une attention suffi sante pour les vitamines E, C, le silicium, les omégas 3 et tout particulièrement les omégas 6, sans excès, est essentielle pour une peau saine. En ajoutant de l’huile essentielle de lime, de citron, de mandarine et d’orange à l’huile de coco, vous obtenez un effet miraculeux pour une peau jeune et douce. (cf. crème pour les mains).

      lien : http://www.bartmaes.tk/fr/huile-de-coco-et-de-palme-rouge/mct-et-de-lacide-laurique.html

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 22:20
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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 16:15

Non loin de chez moi il y a un centre d'insémination artificielle de taureaux. Ils l'ont fermé (OUF !) et construisent des habitations à la place... Je me suis dis tiens comment on récupère.... Qu'est-ce qu'on leur fait vraiment... Curieuse... Et ben voilà :

 

....

 



Vous prenez un taureau, vous le placez entre 4 bareaux de façon à ce qu'il ne bouge pas...
Ensuite, vous placez votre bras dans le colon du taureau... le bras doit quasiment rentrer en entier... Et puis vous commencez à l'exciter... Il existe une zone sensible qui permet d'exciter  "los machos"... (les mâles...) Sans commentaires...
Puis vous prenez un outils ... qui ressemble à un énOOOOrme supositoire et vous placez ce dernier à l'intérieur du colon et vous envoyez des décharges électriques (pas du 10 000 volts non plus... ) sur la zone qui permet l'éjaculation du taureau...
Et vous récoltez la semence...

Bon je vous laisse visionner les vidéo... et regarder les photos...

 

lien : http://lisou-espana.over-blog.com/article-33539765.html link

 

.....

 

Perso les photos me suffisent... Les vidéos j'ose pas regarder...

 

Voilà le prix du steak dans vos assiettes !

 




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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 12:40


Alejandro Jodorowsky : J’ai reçu ce témoignage signé par un célèbre chanteur et compositeur français, Arthur H (n. 1966) fils d’un autre célèbre chanteur et compositeur, Jacques Higelin (n. 1940):

« Mon père était un artiste plein de fantaisie, d’histoires, de chansons, bien connecté avec le monde imaginaire de l’enfance. Toutefois, tourmenté par un passé trouble, il se sentait incapable d’assumer une vie de famille relativement équilibrée. La violence de la force centrifuge qui venait de ses profondeurs le poussait chaque fois plus vers des rencontres incessantes, fuyant constamment ce qui pouvait lui donner une sensation d’emprisonnement. L’amour profond qui unissait mes parents a fait que leur séparation fût longue et pénible. Ma mère a progressivement dû se détacher, fatiguée par les excès des éternelles absences et retours, et les promesses non tenues.

C’est à cette époque que j’ai commencé à l’attendre, complètement imprégné de l’angoisse de ma mère, au point d’en faire la mienne. Parfois, mon père, de retour d’une tournée de concerts, apparaissait de manière inattendue, avec un beau cadeau. D’autres fois il annonçait sa présence, en donnant une date et une heure précise, mais ne venait pas ou arrivait avec un retard  insupportable. Je passais de l’excbabalove.jpgitation, et la fierté, à l’inquiétude, à la résignation, à la déception et enfin à l’indifférence mélangée à une angoisse profonde en pensant « Il est peut-être mort et personne ne le sait ». Quand il arrivait enfin, déjà emprisonné d’une espèce de dépression, je n’étais pas capable de supporter l’énergie de mon père, et bien que je sois heureux de le voir, je me sentais vide, incapable d’exprimer mes sentiments. Adulte, bien que réalisé artistiquement, cette tristesse ne cessait de m’envahir. Je vivais dans un état d’attente constante, souhaitant exister aux yeux de mon père, pour pouvoir vraiment exister. Il n’y avait pas différence entre ces sentiments et ceux de ma mère, toujours soucieuse et déçue dans l’attente des apparitions de son amant lunatique et indifférent, qui la préparait inconsciemment à un futur abandon.

Alejandro m’a proposé un acte psychomagique : « Freud s’est trompé : il n’est pas nécessaire de tuer le père (à quoi sert un père mort ?) il faut l’absorber, le faire vivre en soi. Symboliquement, seulement une fois, transformes-toi en ton père ; et puisque tu es musicien, un homme public, convertis-toi en lui devant tes spectateurs, dans un théâtre. L’ayant capturé, tu cesseras de vivre angoissé par l’attente ; tu ne seras plus un enfant souffrant face à un père inaccessible, insurmontable. Tu te déguiseras en lui et, en chantant une de ses chansons, tu diras à ton public :  Je suis Jacques Higelin ! »

Ma première réaction a été le rejet, comme si je n’avais pas le droit de jouer avec quelque chose de sacré. Mais peu à peu cet acte m’a paru libérateur. Quand est arrivé le jour choisi, j’ai suivi au pied de la lettre les instructions d’Alejandro. Avant le terme de mon concert j’ai demandé à mes musiciens de me laisser seul en scène, j’ai sorti une valise que j’avais dissimulée derrière un amplificateur, et je l’ai lancée sur le piano. Elle a fait un grand bruit. Puis, au milieu d’un grand silence, j’ai dit au public :

«  Il y a quelqu’un de dissimulé dans cette valise ! ». Ensuite, en toute franchise, j’ai raconté ma relation avec mon père, ses absences, les attentes et aussi l’amour. Sans cesser de parler je me suis dévêtu jusqu’à être nu devant le regard ébahis des spectateurs. « Je suis ici, nu devant vous, comme au jour de ma naissance ! » J’ai alors ouvert la valise et j’ai commencé à sortir les vêtements de mon père que j’avais pris dans sa maison. « Voici le fameux costume avec lequel mon père se présente sur scène : le grand mamelouk, la ceinture de clous, le veston de velours brodé et les vieilles sandales. » C’était une image très intime, tous riaient et moi aussi. « Maintenant, par un acte de psychomagie je vais me transformer en mon père. » Je me suis habillé avec son costume et j’ai commencé à chanter une de ses chansons les plus connues. Avec respect face à cette situation étrange, dans le public s’est imposé un silence respectueux. J’ai chanté très concentré, avec la sensation à dépasser quelque chose d’interdit. Quand j’ai terminé la chanson, je me suis déshabillé, et j’ai remercié le public d’avoir pris part ce rêve. J’ai commencé à leur lancer la tenue de mon père et ensuite ma tenue de scène, leur faisant ainsi prendre part à la guérison. Puis, nu, j’ai appelé mes musiciens, pour interpréter le numéro final. Pour la première fois je me suis vraiment senti moi-même, ressentant une joie intérieure profonde. Mes collaborateurs se sont aussi réjouis, sentant qu’une énergie de liberté gênait tous.

Aujourd’hui je n’attends rien de mon père, je n’ai pas besoin d’exister devant ses yeux pour exister vraiment, je n’ai pas besoin qu’il m’écoute pour pouvoir m’exprimer. Je sens qu’il y a encore dans mon ventre une certaine rage, mais au lieu de la réprimer et de la retourner contre moi même, je peux la laisser couler, s’exprimer et la transformer pour la rendre fertile, créative, m’accorder l’énergie vitale et me propulser vers le monde et vers les autres. J’ai décidé de pardonner à mes parents, de me libérer et de les libérer de la charge négative du passé et choisir de ne pas voir en ces derniers autre chose que la vie et tout l’amour qu’ils m’ont transmis ».

Extrait de « Manuel de Psychomagie » Alejandro Jodorowsky (Ed. Albin Michel)

Image : Illustration de couverture de « BabaLove », le dernier album d’Arthur H.

 

lien : https://plancreateur.wordpress.com/category/psychomagie/actes-psychomagiques/

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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 13:27

Allô Rufo ?!

Lors de lémission "Allô Rufo" du 3 décembre 2012 sur France 5, le Dr Rufo s'est permis de répondre à une auditrice qui cherchait des conseils pour sa fille qui déclarait avoir été abusée pendant son enfance: "Limmense majorité des enfants « abusés » vont bien ! "* et de conseiller à l'auditrice de demander au violeur désigné si cela était vrai avant de croire les "fantasmes" de sa fille.

Êtes-vous sûr Monsieur Rufo ? Donc la grande majorité des anciennes victimes de violences sexuelles pendant leur enfance vont... bien. Nous sommes ravi-es de lapprendre. Chaque semaine, nous recevons des pluies de témoignages, de demandes d'aide danciennes victimes qui sont au bord du gouffre, à qui personne ne vient en aide ou qui entendent les inepties dites par des personnes telles que M. Rufo.

Non, la majorité des victimes dinceste et de pédocriminalité ne vont pas bien ! Les conséquences multiples sur leur vie intime, sexuelle, de couple, professionnelle et leur santé sont dévastatrices. De nombreuses études scientifiques, témoignages, ouvrages l'expliquent et le prouvent très clairement : 56% à 80% des victimes nécessitent des soins, soit l'immense majorité (Dufour et al 2000).

La Haute Autorité de santé le reconnaît : "La gravité des séquelles sur la santé physique (troubles du comportement alimentaire, addictions…), sur le développement psychique (dépression, pulsions suicidaires…) et sur la vie sociale des victimes (peur des autres…) fait de l'inceste un enjeu sanitaire et sociétal majeur."

Les professionnels de santé doivent jouer un rôle essentiel dans le repérage. Mieux repérer, est-ce bien là ce que fait M. Rufo ?

Les propos de Mr Rufo reportant la responsabilité du mal-être sur la vulnérabilité préalable de l'enfant victime inversent la conséquence et la cause, ce qui est insoutenable scientifiquement pour tous les psychotraumatologues. Par ailleurs les chiffres des faux témoignages et faux souvenirs sont particulièrement faibles, comme le prouvent de nombreuses études juridiques, et psychiatriques, et ce malgré des mythes contraires.

Les chances de résilience d'une victime d'inceste ou de pédocriminalité sont accrues lorsqu'on lui apporte soutien et reconnaissance, quand elle est entendue et crue sans aucune condition ! En revanche le déni, le refus de croire font considérablement accroître le mal-être et nuisent à la possibilité de se reconstruire.

Suite à l'émission, la colère des anciennes victimes, des professionnels qui les soutiennent et les accompagnent et des associations est immense. Nous sommes révolté-es d'entendre des paroles niant la souffrance des victimes, niant la vérité de la fréquence des violences sexuelles, niant la réalité des séquelles à une heure de grande écoute, dans une émission prétendant "donner des solutions rapides et concrètes aux problèmes qui préoccupent de nombreux éducateurs et dédramatiser de multiples situations, sur un ton inspiré par les émissions de libre antenne."

Il est temps que de vraies informations soient diffusées dans les médias concernant les violences sexuelles commises sur les enfants.

Nous appelons France 5 à prendre ses responsabilités face à ces déclarations et exigeons un droit de réponse et des excuses de la chaîne et du Dr Rufo auprès de toutes les personnes qu'il a blessées cruellement.

 

S'informer sur les conséquences des violences sexuelles durant l'enfance (études, témoignages, articles...) : www.crifip.com

 

petition.jpg

lien : http://www.change.org/fr/pétitions/france5tv-stop-à-la-désinformation-sur-les-violences-sexuelles-faites-aux-enfants-brunopatino-fabarol?utm_campaign=new_signature&utm_medium=email&utm_source=signature_receipt#share

 


 

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 11:24
Pétition

→ Voir les signatures
Végé ? t'as rien !

Tous ceux qui croient à la liberté de pensée, à la liberté d'expression et au respect de toutes les convictions personnelles devraient signer cette pétition, quelle que soit leur opinion concernant le végétarisme et les droits des animaux.

Un décret gouvernemental publié le 2 octobre 2011 a rendu illégal le végétarisme dans toutes les écoles françaises, qu'elles soient publiques ou privées (1). Tous les menus servis dans les cantines scolaires doivent maintenant contenir des produits animaux en général, en particulier de la viande et du poisson de façon fréquente.

Pour beaucoup d'enfants, manger chez eux n'est pas possible et apporter leur propre nourriture à l'école est interdit.
Cela signifie que six millions d'élèves sont maintenant forcés de manger de la viande, qu'ils aiment cela ou non.

Faisant suite à une loi votée l'an dernier au Parlement(2), des décrets similaires seront publiés prochainement concernant toutes les formes de restauration : des jardins d'enfants aux hôpitaux, des prisons aux maisons de retraite.
Le végétarisme sera désormais impossible pour une large part de la population.

Ces mesures ont pour but affiché d'améliorer la qualité des repas servis dans les écoles. Les autorités sanitaires françaises affirment, contrairement à de nombreuses autorités médicales dans le monde, qu'un régime alimentaire équilibré n'est pas possible sans produits animaux.

Il n'y a pas de considérations pratiques qui justifient de prohiber ainsi le végétarisme, surtout dans ces cantines où la direction souhaiterait offrir une alternative végétarienne ou végétalienne. Ces décrets sont donc une violation des droits des citoyens végétariens en France.

Le débat public sur les droits des animaux et sur leur statut moral est actif en France, comme dans bien d'autres pays. Les gens sont libres d'avoir une opinion sur ces questions, et ceux qui croient qu'ils ne peuvent pas, en toute conscience, continuer à manger les animaux ne doivent pas être discriminés. Le ministre de l'agriculture, Bruno Lemaire, a déclaré en janvier 2010 que le but du gouvernement était de déterminer une norme nutritionnelle publique pour défendre le modèle de l'agriculture française et spécifiquement pour contrer les initiatives comme celles de Paul McCartney appelant à une réduction de la consommation de viande(3) .
Pour autant, un gouvernement ne peut trancher un débat philosophique, éthique et politique en restreignant les droits de ceux qui sont en désaccord avec ses positions.

Pour ces raisons, j'exige du gouvernement français le retrait de ces dispositions inacceptables.

(1) Décret n° 2011-1227 du 30 septembre 2011 ; arrêté du 30 septembre 2011, publié au Journal Officiel le 2 octobre 2011 (http://tinyurl.com/DecretCantines).

(2) "Loi de la modernisation de l'agriculture et de la pêche", publié le 27 juillet 2010.

(3) http://tinyurl.com/FlashLeFigaro

 

 

ALLER SIGNER LA PETITION : 

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 12:36

LE MIXAGE PHOSPHÉNIQUE EN PÉDAGOGIE  :   link

 

Un autre lien pour le phosphenisme : link

 

La lecture sous phosphène : link

 

Forum : link

 


 

J'ai fait l'expérience du phosphène avant de dormir deux fois et je dois dire que l'endormissement est instantané apres les trois minutes que dure le phosphène. 

 


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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 12:04

Lorsque vous achetez des produits dans les magasins, regardez toujours la composition. Des produits les plus inattendus peuvent contenir des produits d'origine animale (bonbon ou yaourt à la gélatine, olive au lactose, pain grillé à la graisse animale, biscuit à la graisse animale, vérifier toujours la composition du pain, l'amidon modifié serait d'origine animale, etc. ). C'est effarant à quel point les produits d'origine animale sont inclus dans n'importe quelle préparation alimentaire. C'est à se poser des questions sur l'équilibre psychologique des fabricants (quelle idée de mettre du lactose dans les paquets d'olives !).
La vie des animaux est tellement niée que l'humain s'en sert pour tout et n'importe quoi, comme s'ils n'étaient que des objets. De plus, la production de viande génère tellement de déchets (un bœuf ne « produit » que 200 kg de viande, même pas la moitié du poids de l'animal, le reste du cadavre n'est pas consommable en temps que viande) que l'industrie de la viande ne sait pas quoi en faire. On retrouve, parfois, de la viande (ou du sang, etc.) dans des engrais pour végétaux (ne vous étonnez pas si vos pots de fleurs sentent la putréfaction…).
On peut retrouver de la gélatine dans de nombreux produits, tel que : des bonbons, des allumettes, les pellicules photo, le papier photo, certains papiers spéciaux pour imprimantes, des glaces, des desserts lactés, des yaourts, des gélules pharmaceutiques, et même nos billets de banque sont faits avec. Souvent même on l'utilise pour clarifier la bière, le vin, des jus de raisin et de pomme, etc. Dans ce dernier cas, évidemment, ça ne figure pas dans la liste des ingrédients, c'est pour ça qu'il est important d'écrire aux fabricants pour savoir ce qu'il en est exactement, et leur signifier par la même occasion nos attentes de consommateurs : leur dire que oui, il y a des gens que ça dérange de savoir que leur jus de pomme est filtré avec des vessies de poisson, ou que leur papier photo est fabriqué avec des tendons de porc broyés, qu'en tant que consommateurs on attend un peu plus d'éthique dans la fabrication des produits qui nous sont proposés.
Beaucoup d'additifs sont extraits de cadavres d'animaux ou de produits d'origine animale. Méfiez-vous de tous les ajouts de vitamines dont il n'est pas spécifié l'origine. Par exemple la vitamine D3 est d'origine animale (extraite de poisson en général), on la retrouve souvent dans des margarines, même lorsqu'il y a écrit en gros sur l'emballage « margarine 100% végétale » (la loi autorise un certain pourcentage de matière d'origine animale pour un produit s'affichant 100% végétal ! !). La D2, par contre, est d'origine végétale.
A noter que pour fabriquer 1g de vitamine B12 d'origine animale, il faut 20 tonnes de foie.
En Europe, les additifs alimentaires sont désignés par des sigles. Se sont les « E », il en existe au total 3800. Certains ne sont pas précédés par le préfixe « E », cela signifie qu'ils n'ont pas été approuvés par la CEE.
Les « E » suivant sont d'origine animale : E120 (cochenille), E441 (gélatine), E542 (phosphate d'os), E901, E904, E910 (L-cystéine), E913 (lanoline), E920 (L-cystéine hydrochloride), E921 (L-cystéine hydrochloride monohydrate), E966 (lactose hydrogéné).
Les « E » suivant peuvent être d'origine animale : E101 (lactoflavine ou riboflavine), E101a (riboflavine 5 – phosphate), E153 (charbon noir), E161b (xanthophylles), E161(g) (xanthophylles), E236 (acide formique), E237 (formiate de sodium), E238 (formiate de calcium), E270 (acide lactique), E322 (lécithines), E325 (lactate de sodium), E326 (lactate de potassium), E327 (lactate de calcium), E421, E422 (glycérol), E425, E430, E431, E432, E433, E434, E435, E436, 440 (pectine), 442, E470a, E470b, E471 (mono et diglycérides d'acides gras et leurs esters), E472a (mono et diglycérides d'acides gras et leurs esters. Idem pour b, c, d, e, f), E472b, E472c, E472d, E472e, E472f, E473 (sucroesters), E474 (sucroglycérides), E475 (ester polyglycériques d'acides gras alimentaires non polymérisés), E476, E477 (monoesters du propylène-glycol d'acide gras), E478, E479b, E481 (stéaroyl-2-lactylactate de sodium), E482 (stéaroyl-2-lactylactate de calcium), E483 (tartrate de stéaroyle), E491, E492, E493, E494, E495, E570 (acide stéarique), E572 (stéarate de magnésium), E585, E627 (guanylate de sodium), E631, E635, E640, E920, E1518.
     Et ce n'est pas tout, il y a une autre liste de A à Z sur notre animo-dépendance: 

* Acide lactique / E270 : d'origine animale (lait) ou végétale.
* Albumine : issue des oeufs mais aussi parfois du lait, des muscles ou du sang. Origine végétale possible.
* Allantoïne : acide urique provenant des mammifères, que l'on retrouve dans certains liquides vaisselles et en cosmétologie. Origine végétale possible
* Ambre gris : substance parfumée issue de l'intestin des cachalots. Employé comme fixatif pour les parfums et comme arôme dans l'alimentaire.
* Arômes naturels : peut signifier tout ou n'importe quoi.
* Aspartame / E951 : l'acide aspartique qui entre dans sa composition n'est pas toujours végétal.
* Bifidus : composant de la flore intestinale des nourrissons, utilisé industriellement comme ferment lactique. Du bifidus vegan existe aussi.
* Bile : liquide sécrété par le foie.
* Blanc ou huile de baleine : huile issue de la tête des cachalots ou des dauphins. Utilisée en cosmétologie, dans l'industrie du cuir et certaines margarines.
* Castoréum : issu des sécrétions glandulaires du rat musqué et du castor. NB : « castor oil » ne signifie pas huile de castor mais huile de ricin.
* Caséine : protéine de lait.
* Cellules fraîches : prélevées sur des foetus d'animaux.
* Chitine : issue des carapaces des crustacés.
* Cire d'abeille / E901 : entre souvent dans la composition des baumes pour les lèvres et autres produits cosmétiques. Elle est aussi utilisée pour fabriquer bougies et crayons.
* Civette : sécrétion odorante obtenue en stimulant par la torture un mammifère appelé civette.
* Cochenille / E120 : pucerons que les péruviens élèvent sur des cactus, et qui sont broyés pour obtenir un colorant (rouge). Ce colorant est utilisé dans les aliments (charcuterie, confiserie), médicaments (sirops, pilules) et cosmétiques (rouges à lèvres et à joues).
* Collagène : protéine fibreuse des vertébrés. Très courante en cosmétologie.
* Disodium de phosphate / E631 : peut être préparé à partir d'extrait de viande ou de sardines séchées.
* Elastine : on en trouve dans l'aorte et les ligaments du cou des bovins.
* Gélatine : ingrédient très répandu, obtenu en faisant bouillir tendons, os, ligaments. Utilisation : épaississant dans les crèmes desserts, les bonbons, les glaces, les gâteaux, les marshmallows, les yaourts, etc.
* Gelée royale : sécrétion des glandes pharyngiennes de l'abeille servant à nourrir les jeunes larves.
* Glycérine / glycérol / E422 + monoglycérides / diglycérides / E471 / E472 : graisses animales utilisées notamment dans les biscuits. Origine végétale ou synthétique possible.
* Hexaphosphate inositol de calcium : toujours d'origine animale.
* Huile de poisson : très courante dans les margarines.
* Insuline : hormone sécrétée par le pancréas des boeufs et des cochons et utilisée par les diabétiques. Il existe des alternatives synthétiques et de l'insuline humaine fabriquée en laboratoire.
* Isinglass : gélatine fabriquée à partir de vessies de poisson, utilisée pour clarifier les vins et les bières. NB : la plupart des bières et des vins contiennent des produits animaux (isinglass, oeufs, sang, gélatine, …) pour clarifier, conserver, colorer, …
* Kératine : provient notamment des ongles, poils, plumes de divers animaux.
* Lactose : sucre du lait, on lui connaît aussi une forme d'origine végétale.
* Lanoline : substance extraite du suint de la laine des moutons. Utilisée en médecine et cosmétologie.
* Lécithine / E322 : extrait d'oeufs, soja, sang ou tissus névralgiques. On en trouve un peu partout dans les produits alimentaires. Il existe aussi de la lécithine de soja.
* Levure de bière (saccharomyces cerevisiae) : est issue de la fabrication de la bière. Certaines levures peuvent être cultivées à partir de sous-produits lactosés, provenant de la fabrication du fromage.
* Musc : obtenu à partir des glandes abdominales d'un certain type de cervidé. Couramment employé en parfumerie.
* Noir animal : os calcinés employés pour raffiner certains sucres.
* Œstrogène : issu soit des ovaires des vaches soit de l'urine de juments maintenues enceintes spécialement dans ce but et dont les poulains sont systématiquement éliminés à la naissance. Utilisation : pilules contraceptives (ex : Premarin). Forme synthétique possible.
* Pepsine : issue de l'estomac des cochons, utilisée comme coagulant.
* Petit-lait : provient du lait. Souvent rencontré dans les biscuits et les bonbons.
* Phosphate de calcium : peut être fabriqué à partir d'os animal. Ainsi le E542 est toujours d'origine animale. Utilisé, semble-t-il, plus particulièrement au Royaume-Uni et entrant notamment dans la composition des cachets et celles des comprimés de minéraux.
* Présure : coagulant. L'immense majorité des fromages en France en contient. Cela provient de l'estomac des veaux nouveau-nés qui sont ainsi sacrifiés pour la fabrication du fromage. Il existe des présures végétales mais on les rencontre très rarement.
* Progestérone : hormone sécrétée par les glandes de différents animaux.
* Propolis : gomme recueillie par les abeilles pour la construction de la ruche. On en rencontre essentiellement dans les produits cosmétiques.
* Saindoux : graisse animale.
* Suif : graisse animale que l'on retrouve généralement dans les savons et les bougies. Origine végétale possible.
* E631 : dont le nom anglais est « sodium 5' inosinate », est toujours d'origine animale.

      La tuerie des animaux et l'utilisation de leurs dépouilles sont tellement banalisées que remettre en cause ces pratiques implique de s'opposer à une bonne part des activités et des croyances actuelles des humains. Il est incroyable à quel point l'humain arrive à tuer des êtres avec tant de facilité et avec un consensus aussi général. Cela fait froid dans le dos, et on ne s'étonnera pas que des massacres se soient produits, dans l'histoire, et encore actuellement, contre d'autres humains pour des motifs aussi farfelus que ceux avancés pour justifier la tuerie des animaux : couleur de peau, langage, forme du visage et du corps, façon de s'habiller, croyance, lieu de naissance, etc.. Tuer des animaux ou tuer des humains, la logique reste la même.

 

Source :  http://lesgoutstendances.over-blog.com/article-des-cadavres-partout-le-savez-vous-73749502.html

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